eRound The World
Toronto et Niagara FallsLondres


Back to Africa ! 3 ans pile après mon dernier voyage au Sénégal. Cette fois-ci c’est le Gabon qui fait appel à nos services professionnels pour 11 jours de formation en SIG à l’Institut National de la Cartographie (l’équivalent de l’IGN en France). J’obtiens mon visa la veille de mon départ prévu le 22 septembre de CDG, ce fut short mais ça passe ! Il parait que le consulat du Gabon est très tatillon et que l’obtention d’un visa, même d’affaire comme le mien, est assez compliqué. Il faut bon nombre de pièces justificatives du voyage et le formulaire rempli sans le moindre oubli ni quelconque rature.

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Le vol dure 6h45 lors duquel nous survolons la Méditerranée, les montagnes kabyles près de Jijel, puis l’immense désert du Sahara. Je l’ai déjà survolé mais pourtant sans l’apprécier à sa juste valeur, certainement parce que je dormais sur les autres vols…On distingue ses ergs et ses regs à perte de vue, par endroit un peu de verdure, des oueds qui s’étendent sur des kilomètres et des oasis à l’ombre des dunes.

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L’arrivée sur Libreville est proche et là le paysage change complètement vu d’en haut. Le désert est devenu vert ! Nous sommes très proches de l’équateur. La forêt semble très dense par endroit entre les bras de mer et les estuaires, il n’y pas beaucoup de constructions, il doit y avoir de la mangrove qui empêche toute urbanisation. Un petit côté Amazonie, toute proportion gardée.

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Atterrissage sans encombre à l’aéroport de Libreville, capitale du Gabon. Comme je me répète dans chacun de mes articles, je suis content d’avoir un nouveau tampon sur mon passeport !

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Une navette vers mon hôtel vient me chercher pour 30min de trajet à peine. Je vais me faire une première idée de la ville, et il est plutôt bon. Déjà les routes sont en bon état, bitumée sans nids de poule, les bâtiments ont un bon état général, il y a des panneaux de signalisation et des feux tricolores, ça peut paraitre « normal » mais c’est loin d’être le cas partout en Afrique. Le boulevard de l’Indépendance traverse toute la ville en longeant l’océan et les cocotiers, à quelques mètres tout au plus.

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Je suis à’lhôtel Re-Ndama de la chaine Le Méridien, historiquement les hôtels créés par la compagnie Air France. Il est classé dans la catégorie luxe pour la ville. Très grand, un personnel démultiplié, on vous ouvre les portes, on vous monte les bagages, etc. etc.

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Ah oui, j’ai oublié de préciser, je voyage avec la main fracturée et en attelle…Donc c’est parfait que l’on me porte les bagages ! Un des gros atouts de l’hôtel c’est sa situation sur l’océan et sa terrasse avec piscine et bar restaurant. Je crois que j’ai du y passer un tiers de mon temps !!

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Je passe ma première soirée au restaurant en buvant et mangeant local. La bière brassée ici est la Régab et comme plat ce sera du poulet au nyembwé avec du riz et des bananes frites. Pas super appétissant mais c’est très bon ! Le nyembwé est une sauce à base de palme (je sais que ce n’est pas écolo Ségolène !).

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La chambre est spacieuse, j’aperçois les palmiers et l’océan de ma fenêtre mais la première chose que je teste ce sont les chaines de télévision !! Car on est en pleine coupe du monde de rugby et je compte en profiter !! Chance, j’ai 3 chaines qui retransmettent les matchs, TF1 que je ne regarderai pas pour cause de présentateur à chier, Canal+ et SuperSport Live, chaine de sport sud-africaine, plutôt calée en rugby ! C’est parfait.

J’attaque la formation le lendemain à l’INC, les locaux semblent assez anciens car le nouveau bâtiment est en construction juste à côté depuis quelques années.

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On m’apprend que le lendemain est férié, donc je vais travailler une journée, puis férié, encore une journée, puis weekend. Dur…Le mercredi soir il y un match du XV de France contre la Roumanie et il est projeté sur écran sur la terrasse de la piscine, il faut dire que la fréquentation de l’hôtel est à 90% d’expatriés dont 70% de français je pense. Il n’y a pas d’ambiance et il semblerait que je sois un des seuls intéressés par le match (et le rugby sûrement).

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Le jeudi férié, pour cause de fête religieuse musulmane. En tout cas, moi j’en profite et je vais faire un peu de farniente au bord de la piscine

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L’après-midi je bosse quand même un peu pour organiser le programme de la formation, au bord de la piscine toujours. L’océan est agité et on voit les vagues éclabousser la terrasse, le cadre est tout sauf propice au travail.

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Le lendemain, la formation est écourtée pour cause de coupure de courant générale dans la ville, les aléas du direct on dira ! On va déjeuner des grillades pas très loin du boulot dans un boui-boui à l’africaine mais où on peut être sûr que la bouffe va être bonne. Des cotis braisés avec le riz, un des plats populaires du Gabon et un coca.

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L’éléctricité n’est pas revenue entre temps donc 14h c’est déjà le weekend pour moi. Comme la veille, je retournerai travailler à l’hôtel. Il faut dire que je ne suis pas ici en vacances même si cela y ressemble fortement !

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Le samedi est là et un de mes stagiaries m’avait proposé une virée tourisme que j’avais accepté avec grand plaisir. Nous nous retrouvons avec Pavlick au pied de l’hôtel à 14h pour partir récupérer un de ses amis Emmanuel qui doit nous emmener dans sa famille pour me faire goûter une autre spécialité locale, le vin de palme. Nous prenons la route vers l’est pour sortir de Libreville et aller jusqu’à Ntoum à une cinquantaine de kilomètres. Je suis content car je vois du pays ! Et là ce n’est plus la capitale, les routes sont défoncées.

– Mais pourquoi tu ralentis ?!
– Mais y a des trous !

Des petits trous, des grands trous, par moment la voiture rentre dans un « trou » jusqu’aux portières et d’autres se sont les suspensions qui subissent.

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Mais au moins la route principale est à 90% asphaltée aussi ! Nous arrivons à Ntoum, la deuxième ville de la province après Libreville, il n’y a pas d’intérêt particulier apparemment mais la région produit beaucoup de vin de palme dont sont amateurs les gabonais.

Nous quittons la route principale pour entrer dans la localité de « Venez voir » que l’on aura renommé « Venez boire » pour l’occasion ! On traverse les palmeraies sur une route en terre, plein de petites maisons au calme sous les arbres, ça c’est authentique.

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Nous nous arrêtons près d’une maison en bois face aux palmiers, c’est ici que ce passe la dégustation, nous avons un bidon de 3L de vin de palme à boire dans des…pots de mayonnaise qui feront office de verres et assis sur de bons vieux bancs ! On ne peut pas faire plus immersif ! Je suis un invité privilégié, ça me fait très plaisir.

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Commençons par décrire le goût avant le processus de fabrication. C’est de couleur très claire, un léger goût amer et peu fort en alcool (autour de 7° je dirais), ça a une odeur de bois mélangé à du miel, difficile à décrire. Je trouve ça bon mais sans plus.

Au bord de la route on voit que c’est un vrai business ici, de nombreuses personnes passent en voiture ou à pied bidons à la main. Le bon vin se réserve des semaines à l’avance. Pour la fabrication, il y a 2 techniques, soit on coupe le palmier pour le coucher au sol et laisser couler la sève dans des récipients, soit on incise le coeur du palmier et y accroche des bouteilles à la manière du sirop d’érable. Le jus récolté est blanchâtre, on le laisse ensuite fermenter et produire l’alcool en y incorporant un morceau de bois, celui-ci donne du goût au vin final. Comme pour du moût de raisin, la fermentation libère des gaz et rend quelque peu pétillant le vin, il est obligatoire de percer le bouchon pour éviter toute explosion. J’achète une bouteille à des passants pour 1000F soit 1€50 pour goûter un autre, un peu plus fort. Nous l’aimons beaucoup moins car trop amer. En parlant d’explosion, pas manqué ! Malgré le trou, à l’ouverture de la bouteille, c’est le geyser dans la voiture !

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Nous repartons pour Libreville ensuite avec les embouteillages qui vont avec, la nuit est tombée (vers 18h30) et je remarque que le pays semble bien électifié, l’éclairage est partout côntrairement à d’autres pays que j’ai visité. A notre retour, on va manger dans le quartier de Charbonnage, des grillades, une viande de boeuf délicieuse, tendre comme il faut avec riz et bananes accompagné d’une Régab, au bord de la route avec Pavlick, Emmanuel et Gatien.

Ils me proposent d’aller ensuite dans un snack, je ne comprends pas vraiment puisque l’on a déjà mangé ! Un snack est en fait un bar avec de la musique où les gabonnais vont danser et boire des verres avant d’aller en nightclub. Je suis fatigué et décide de rentrer à l’hôtel. Un autre programme m’attend le lendemain, mais je ne sais pas encore lequel.

Le petit déjeuner de l’hôtel est costaud, coûte 15 000F (22€), il y a tout, sucré, salé, fruits, le weekend j’en profite pour faire un gros brunch et sauter le repas de midi. Omelette au bacon, chocolatine et croissant, cake, tout y passe (pas trop de fruits, ça fait grossir !).

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Le directeur adjoint de l’INC vient me chercher à l’hôtel pour une visite au nord de Libreville, à Cap Esterias. En y allant, nous passon devant les nouveaux quartiers de la capitale, qui s’étend de plus en plus vers le nord, le nouveau stade y est planté depuis la dernière Coupe d’Afrique des Nations de football, très beau stade de 40 000 places. Après cela nous entrons par la route dans une forêt dense, nommée le bois des géants, ça ressemble bien à une forêt tropicale avec ses grands arbres, et ses lianes. Cap Esterias est une localité sur le bord de l’océan avec des plages où les librevillois aiment aller le dimanche. En effet, il y a plein de petites paillotes pour manger, boire un verre en écoutant de la musique.

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On s’installe au Beach Paradise, les pieds dans le sable sous les arbres, une scène est installée et une sorte d’animateur de soirée ressemblant à Maitre Gims essaie de mettre l’ambiance…Et il y arrive, il appelle des habitués à venir danser sur la scène à tour de rôle. Certains se la jouent bons danseurs, genre je me la pète grave mais se révèlent être très mauvais. Ca a le mérite de faire rire les gens !

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Nous grignottons un bon plat de grillades avec des bananes accompagnés de Régab (ça commence à en faire beaucoup depuis que je suis arrivé !) mais il faut profiter. La musique est très, trop, forte. Le soleil commence à tomber et à cogner sur la tête. Une dernière petite photo de ce bel endroit et retour à Libreville.

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Le fait de manger à l’extérieur me permet de comparer les prix entre l’hôtel de luxe et la vraie vie en dehors. Pour exemples, une bouteille de bière au Méridien coûte 5500F contre 600F dans un snack. Un plat de grillade avec bananes compter 10 000F contre 2000F à l’extérieur…Mais c’est vrai qu’on y est bien ! Il faut rattaquer la semaine. Le programme pendant 5 jours sera : hôtel, trajet, INC, repas, INC, trajet, hôtel. Je ne vois pas grand chose d’autre mais c’est normal, je n’oublie pas que je suis là pour le boulot ! La route de tous les jours est le long de la mer, c’est motivant pour bien attaquer la journée. Un nom de localité me fait bien rire, il s’agit de « Lalala », j’ai envie d’y aller rien que pour ce nom.

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Le midi, nous mangeons souvent des sandwichs achetés juste à quelques dizaines de mètres de l’INC, fait maison, à la viande, mayonnaise, œufs, tomates, oignons, piment, arômes dans une demi baguette, j’adore ça. Et c’est fait sous les yeux par Madame Irène.

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Un autre jour nous allons un peu plus loin, au Grenier, en voiture et là je prend un Thieb mouton, comme la recette du thieboudienne sénégalais mais au mouton à la place du poisson donc plus proche du thiebou yapp. Je prends ça en souvenir de mon séjour à Thiès mais c’est moins bon ! Chacun sa spécialité en même temps.

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La semaine se poursuit. Le matin c’est un certain M. Metoho, chef de service de la recherche, qui vient me chercher en voiture, au début je croyais qu’ils l’appelaient « monsieur météo » et qu’il s’agissait de son surnom, jusqu’à ce que je vois son nom sur la feuille de présence. Heureusement je ne l’ai pas appelé par son nom avant. En tout cas, il me conduit tous les jours en écoutant des chansons religieuses, des louanges à Jésus et à Dieu, de bon matin j’aurais préféré le silence mais allons ! Je profite tout de même du trajet. On passe devant une étrange statue, il s’agit de la stèle de la Liberté, mi homme mi femme se libérant de ses chaines.

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La formation se déroule toujours bien, sans coupure de courant au rythme qui convient à tout le monde, stagiaires comme moi même. Toujours la coupe du monde de rugby à la télévision, je me fais même monter le repas quand les matchs ne sont pas diffusés au restaurant, tranquille…

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Le weekend approche, je n’attends que ça, sachant que j’ai réservé 2 jours pour aller dans un campement faire des excursions proche des parcs nationaux.

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Sur recommandantion de plusieurs gabonais, je pars en excursion à Nyonié de l’autre côté de l’Estuaire. Le départ se fait à Michel Marine à 20min à pied de l’hôtel, il s’agit d’une cale où l’on met les bateaux à l’eau. Ce sont les départs pour les lodges de la Pointe Denis et Nyonié.

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De nombreuses personnes attendent et nous montons à bord d’une pirogue à moteur pour environ 1h de bateau. Nous descendons l’estuaire pour entrer dans un bras de mer entouré de mangroves.

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Dans l’estuaire, l’eau est toujours en mouvement, plus on avance dans les bras de mer, plus l’eau devient un parfait miroir.

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La végétation est superbe, dense, avec les palétuviers qui cherchent à rejoindre la vase pour s’encrer et gagner sur l’eau. Place à la nature.

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Nous sommes 18 sur le bateau, au bout de la lagune, nous accostons et des 4×4 nous attendent pour rejoindre le camp. 3 pickups version safari, avec des banquettes dans la benne. Le petit village qui est au bout dispose d’une piste d’hélicoptère. On se sent au milieu de nulle part, dépaysant au possible !

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C’est déjà un bel aperçu du weekend, 30min à traverser la forêt et la savane sur des pistes en terre. On aperçoit nos premiers animaux, notamment des buffles et un jeune sitatunga, c’est une antilope qui, jeune, ressemble à un faon.

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Kévin, le chauffeur du 4×4 nous dépose par petits groupes devant nos bungalows respectifs. Le petit campement est posé au bord de l’océan, surplombant la plage à l’ombre sous des palmiers et des manguiers.

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La formule est simple, 120 000F all inclusive, les transports, la nuit, les 3 repas et les boissons comprises. Nous avons rendez-vous à 11h45 pour l’apéro ! Juste le temps de faire un tour sur la plage pour s’imprégner des lieux.

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On peut attaquer l’apéro le long d’une grande table sous les manguiers, le groupe d’une trentaine de personne s’attable les uns avec les autres, nous faisons connaissance avant de passer au repas lorsque la cloche sonne. L’accueil est excellent, les gérants des lieux très amicaux et leurs cultures et connaissances sur le Gabon sont très intéressantes.

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Le repas est européen, familial : salade, spaghettis à la bolognaise, ananas frais. Efficace et on prend des forces pour l’après-midi. Le temps de profiter des lieux, sieste, plage, lire un peu, observer quelques petits animaux qui passent dans le coin, genre margouillat (gecko d’une vingtaine de cm) et psammophis (couleuvre venimeuse mais qui ne mort pas (à priori), je préfère cela à la vipère du Gabon, qui est connue pour avoir les plus longs crochets venimeux de tous les serpents du Monde.

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A 16h, tout le monde se retrouve aux 4×4 pour partir en brousse en mode safari, 3 voitures d’une dizaine de personnes. Nous faisons à peine 2km que notre première rencontre se fait. Un mandrill traverse juste devant notre voiture, et juste derrière la première, nous sommes chanceux ! Le mandrill est l’un des plus beaux singe à mon goût. Trop vif pour être pris en photo mais suffisamment lent pour que l’on aperçoive son joli minois coloré de bleu, rouge et jaune. C’est un peu comme Rafiki dans le Roi Lion pour les connaisseurs.

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Nous nous enfonçons un peu plus dans les terres pour débarquer dans des savanes aux magnifiques paysages de collines.

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Les prairies sont remplies de termitières « champignons ». Les prochains animaux que nous voyons sont les buffles, en petit troupeau, ils commencent par nous observer comme nous les observons, puis fuient dans la forêt.

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Nous en verrons d’autres moins sauvage un peu plus tard. Les paysages sont de plus en plus beaux, nous montons, descendons les collines, secoués dans notre 4×4 en extérieur. Nous attendons avec impatience de voir les éléphants, si nous avons de la chance car ils ne sont pas sur commande. Les trois 4×4 se séparent et quelques minutes plus loin nous croisons des ibis. Encore quelques minutes plus tard, voilà les pachydermes tant attendus ! D’abord au loin, on voit le dos d’une maman avec son petit et encore plus prêt, un mâle qui monte la colline pour se cacher suite à notre arrivée.

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Les animaux sont très sauvages car il ne s’agit pas d’une réserve. Et ici, les locaux chassent encore pour se nourrir ! Voilà pourquoi ils ont peur de l’homme. C’est vraiment authentique. Comme je le disais précédemment, nos 4×4 se sont séparés et nous serons les seuls à voir les éléphants. Un peu plus tard nous en recroisons mais plus loin. Il ne faut pas seulement se focaliser sur les éléphants. D’ailleurs, nous voyons une antilope nager !

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La luminosité tombe rapidement, nous allons rentrer de nuit. Avant cela, le guide nous emmène sur les hauteurs pour profiter du coucher de soleil et la vue dégagée

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Nous retraversons la forêt pendant 30min de nuit pour rentrer au campement où nous attend l’apéro et le repas. Bière sur bière, j’en viens à discuter au bord de l’eau avec d’autres motivés à ne pas aller se coucher de suite. Finalement ce sera à 4h du matin que nous éteindrons la musique et que nous rangerons les bouteilles. Le réveil le lendemain sera un peu difficile à 11h15. Pas des plus frais. Le départ pour le retour à Libreville est prévu à 14h, le temps de partager un dernier apéritif et un dernier repas.

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Le retour se fait en partie sous la pluie, à peine rafraîchissante, de retour dans la pirogue baptisée JP Chenet (oui oui comme le vin rouge).

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Je m’endors dans la pirogue au retour, bercé par les vagues. Je rentre ensuite à l’hôtel. Il reste 3 jours de formation orientés sur le besoin de l’INC c’est à dire construire un outil de gestion des points géodésiques et la création de la base de données référentiel pour l’ensemble du Gabon.

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Le dernier jour, les stagiaires m’offrent une chemise très colorée, avec un beau tissu apprécié par les gabonais. Vraiment très sympa ! Une partie d’entre eux me raccompagnent à l’aéroport pour mon vol prévu à 22h50. Ce fut vraiment un agréable voyage, avec des gens très chaleureux et également très intéressant professionnellement.

What’s up next ?!

Aller

4h 27min 2 escales
  1. La Rochelle (Gare SNCF)
  2. SNCF TER-63412
    1h 30min
  3. Poitiers (Gare SNCF)
    9min
  4. SNCF TGV-8442
    1h 41min
  5. Paris Montparnasse (Gare SNCF)
    13min
  6. Métro + RER B
    1h
  7. Paris-Roissy (CDG)

Aller

6h 45min Direct
  1. Paris-Roissy (CDG)
  2. Air France AF-0976
    6h 45min
  3. Libreville (LBV)

Retour

14h 43min Direct
  1. Libreville (LBV)
  2. Air France AF-0977
    6h 55min
  3. Paris-Roissy (CDG)
    3h 26min
  4. SNCF TGV-5202
    2h 25min
  5. Poitiers (Gare SNCF)
    15min
  6. SNCF TER-63403
    1h 42min
  7. La Rochelle (Gare SNCF)